ESTOC

cuneus veritatis

 


BIENVENUE

2012


° Notre site qui était nouveau en 2004 a été modestement actif durant deux bonnes années. Entré en hibernation une première fois en novembre 2006, il est retourné à son silence en juin dernier au lendemain d’un huitante-deuxième billet... Quelques amis nous en font le doux reproche alourdissant le mea culpa du paresseux auteur.

° Nous allons donc tenter de réactiver un REMBARRE si possible hebdomadaire, puis lui ajouter aussi- sous une forme à trouver -  des billets de jadis.

° Dès l’Avent 2009, la page de bienvenue signale la désobéissance  flagrante  que les évêques francophones opposent à une directive romaine. Nous faisons le compte de sa durée, mais sans être certain d’y survivre...

° Nous mettrons à votre disposition, comme dans ce récent passé, de bons articles rencontrés ici ou là et nous verrons à y ajouter ce qu’il convient. Il s’agira toujours, pour ESTOC, d’enfoncer le «coin de la vérité» dans le lourd magma des bêtises du monde. Pour la commodité de la compréhension, nous rappelons que nous sommes:

  1. Politiquement chrétiens-conservateurs; 

  2. Civilement fédéralistes, donc Valaisans puis Suisses;

  3. Religieusement catholiques romains.


Désobéissance épiscopale

avec cotation

*

En avril de l’année 2011, de passage dans une chapelle funéraire, un vicaire de paroisse invita les fidèles à ne pas prier pour la personne décédée mais à invoquer au contraire celle-ci pour leurs propres besoins. Et il conclut par un «Sainte Marthe, priez pour nous» adressée à la défunte ainsi canonisée...


Outre la désinvolture d’un clerc inventif, on peut y voir une application des paroles de la consécration du vin,  «pour la multitude» ayant démultiplié à l’infini les effets limités du traditionnel «pro multis».


Ainsi tous sont sauvés et l’enfer est clos.


Le cardinal Arinze, préfet de la Congrégation pour le culte divin, écrivait aux Présidents des conférences épiscopales, le 17 octobre 2006, pour leur demander de mettre fin à cette équivoque. Il leur accordait un délai pouvant aller jusqu’à deux ans pour en informer les fidèles et procéder à la correction. Le 17 octobre 2008 est écoulé; rien ne s’est passé.


A ce jour, dans nos contrées francophones, la trop habile falsification perdure.


La désobéissance épiscopale que nous avons comptée en semaines, puis en mois, sera dès maintenant comptée en années...


En octobre 2016, elle a déjà duré

8

ans